Thèmes

femmes fille mode film maison sur humour homme

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· WESTERNS (30)
· DRAMES (12)
· FILMS DE GUERRE ET SUR L'ARMEE (11)
· COMEDIES (24)
· MELODRAMES (13)
· FILMS POLICIERS ET D'ENQUETE (12)
· FILMS D'AVENTURES (9)
· FILMS FANTASTIQUES (3)
· FILMS HISTORIQUES (8)
· FILMS DE HOLD-UP (3)

Rechercher
Derniers commentaires Articles les plus lus

· L'AMOUR VIOLÉ (1978)
· AUDREY ROSE ("AUDREY ROSE"-1977)
· LA GUERRE DES POLICES (1979)
· COMMANDO ("WHO DARES WINS"-1982)
· LES TRICHEURS (1958)

· LE TRAITRE DU TEXAS ("HORIZONS WEST"-1952)
· PHOTO DE FAMILLE (2018)
· R.A.S (1973)
· LE TELEPHONE ROUGE ("A GATHERING OF EAGLES"-1963)
· L'ARNAQUEUSE ("PERFECT FRIDAY"-1970)
· LES IMPLACABLES ("THE TALL MEN"-1955)
· LA BELLE ESPIONNE ("SEA DEVILS"-1953)
· VIOLENCE AU KANSAS ("THE JAYHAWKERS"-1959)
· LES COMANCHEROS ("THE COMANCHEROS"-1961)
· UN HOMME POUR L'ETERNITE ("A MAN FOR ALL SEASONS"-1966)

Voir plus 

Statistiques

Date de création : 16.11.2013
Dernière mise à jour : 07.02.2021
216 articles


AVERTISSEMENT

SI UNE DES IMAGES QUI ACCOMPAGNENT CE BLOG N'EST PAS LIBRE DE DROITS,PRIERE DE M'EN AVERTIR. ELLE SERA IMMEDIATEMENT RETIREE.

LA MAISON QUI TUE ("THE HOUSE THAT DRIPPED BLOOD"-1971)

Publié le 01/10/2018 à 16:25 par meek Tags : fille mode film maison sur humour
LA MAISON QUI TUE ("THE HOUSE THAT DRIPPED BLOOD"-1971)

Réalisateur: Peter Duffell

Interprétation: Peter Cushing, Christopher Lee, Denholm Elliott, Joanna Dunham

Production: Paul Ellisworth pour Amicus Productions

 

REMARQUES:

-Cette série B, produite par Amicus, qui prit la suite de la Hammer, avec moins d'ambition, n'est pas un chef-d'oeuvre, tant s'en faut, mais reste distrayante.

-Elle exploite la mode (déjà bien usée) du film à sketches, florissante dans les années 60. Le lien (bien ténu) entre eux est assuré par la présence d'une maison qui ne porte pas chance à ses occupants. Là encore, rien de bien original.

-Les épisodes sont inégaux, comme toujours. Le plus réussi, peut-être, est celui dans lequel une adorable petite fille blonde (Cloe Franks) s'amuse à torturer son père (Christopher Lee) en façonnant une poupée de cire qui le représente. A la fin, surprise par sa préceptrice, elle n'hésitera pas à jeter la poupée dans le feu, provoquant aussitôt un hurlement de son père.

-D'autres sketches, comme le dernier, jouent sur un humour un peu laborieux et recyclent les vieux mythes des films Universal des annés 30 (ici le folklore des vampires).

-A noter que l'agent immobilier (John Bryans) qui fait visiter la maison, et apporte lui aussi un peu de cohérence aux différents épisodes, porte de le nom prédestiné de Stoker.

-Le film compte sur la présence, au générique, de deux monstres sacrés, spécialistes de l'horreur: Christopher Lee et Peter Cushing. Dans un rôle semblable à tant d'autres, le grand Peter Cushing apporte sa prestance aristocratique un peu lasse et son immense talent. A noter ses foulards de soie et ses chemises roses à grands cols.